c'est la fin de l'année, et le temps d'un petit bilan..
mes objectifs...
de reprendre le dessus financièrement .
Cet objectif n'est pas atteint:
en fin d'année passée je me suis retrouvé avec mes comptes bloqué et moins mille francs sur mon compte :
là je fini l'année a moins 500 francs...
C'est vraiment pas glorieux, en plus sans frais médicaux a couvrir cela a un coté pour le moins flippant pour 2013.
certes j'en ai bientôt fini de mes remboursement à VISA.
j'ai rattrapé 4 mois de retard d'impôt, bien que sur un retard de plus de deux ans...
j'ai aussi abandonné mes activités accessoires, les profits étant systématiquement engloutis par le payement des factures.
je ne parvenais plus a trouver de motivations et cela me mettait de plus en plus en état de tension .
restait donc a économiser..
mais sur quoi, depuis ma période de chômage, me reste plus que les charges fixes sur le quel il y a pas de marges possibles.
toutefois pour 2013 je suis entré en médicare pour économiser 20% sur les primes maladies.
enfin presque puisque depuis les primes on augmenté de 6%
c'est vraiment l'arnaque.
Je me rend bien compte que je doit trouver 100 Francs d'économies par mois pour couvrir l'inflation.
plus 200 Francs pour juste vivre décament :
plus disons 100 Francs pour les remboursements.
au quel il faut ajouter 100 Francs pour les frais de santé non rembourssé ; franchises et 10% de tickets modérateur .
et encore, sans loisirs, vacances ou vélo...
donc en gros 500 francs à trouver tous les mois... soit environs 13% de mon salaire:
ma marge de manœuvre est vraiment faible...
j'ai fait sauté mon forfait de portable et je vais gagner 20 francs net puisque du coup je ne bénéficie plus de la réduction sur internet de 30 francs.
une vraie arnaque ...
faudra attendre le deuxième semestre pour annuler l'accès a internet et retrouver 50 francs
reste les cotisations syndicales bloquées au delà de 2014.
bref seulement 100 Francs d'économisé à terme
en fait rien puisque en 2013 il me faudra débourser 1000 francs en frais médicaux.
De plus depuis quelques jours je carbure à l'ibuprophène suite a des infections dentaires:
étant complètement fauché comment aller chez le dentiste ?
et dire que je bosse !
mais au profit de qui de quoi ?
c'est usant et pour le moins frustrant
Bon la santé...
un an sans traitement, la belle affaire sans suivis non plus.
je suis vivant et je ne suis pas tombé malade, contrairement aux affirmations du corps médical.
toutefois en mars il a bien fallut se rendre à l'évidence des effet psycoactif des medocs, un effet de manque s'est développé
avec uns instabilité de l'humeur et de moment de dépressions durant environs 6 semaines.
puis une lente remonté mais aussi une sorte de réveil.
Cela a provoqué une appréhension de mon entourage, plus moyen de me manœuvrer sans que je le fasse remarquer.
Au travail légère dégradations du climat, compensé par une mise à l'écart, un recul...
J'ai toujours plus de difficultés cognitives, des mots que je ne retrouve plus, que j'arrive soudainement plus à prononcer .
c'est proprement flippant !
l'ostéoporose, le pancréas, mon cerveau, mon foie...
j'ai appelé la médecine au secours durant deux ans sans rien obtenir, je ne suis que un ouvrier..
seul la virémie compte et peu importe le reste .
rien n'est réglé et s'ajoute les problèmes dentaires
et la vie...
passablement de changements .
le principal est le retrait de toutes activités sociales .
la prise de conscience de moi, de ma valeur, de mon âge
que je me doit de me préserver et que la médecine m'apporte plus d'ennuis que de mieux être...
survivre avec toutes ces conditions imposées ?
ä l'évidence je n'est pas encore assez payé mon tribut à la société, je doit encore vivre dans le sacrifice
encore des années durant et probablement toute ma vie
à moi d'aménager de toutes petites respirations dans ce sacrifice perpétuel pour les autres .
oublier mon besoin de reconnaissance, je me suis fait arnaqué avec cela...
être lisse ne rien partager de personnel car cela servira à me casser a un moment ou un autre
rester en retrait, éviter l'engagement, louvoyer .
Maintenir le cap mon cap