avertissements


les textes de ce blog sont issus d'un séropositif.
bien que l'auteur émet des opinions bien tranchées il n'invite personne a changer ou renoncer de traitement médical. ce qui est dit ici est un avis personnel, un vécu tel qu'il est perçu par l'auteur. celui-ci n'est pas membre du corps médical et ne prétend aucunement donner des conseils médicaux. de plus l'auteur n'est de loin pas parfait du point de vue de l'orthographe, il fait avec ce qu'il a et, force est de constater que c'est pas grand chose.


dimanche 28 octobre 2012

faire abstraction du passé.

 Bien que les interrogations sur la reprise de mon traitement en 2013 afflue je me rend compte du travail personnel :
C'est de loin pas la joie :
il y a u cette rupture et cette tension en 2011 qui m'a amené à réfléchir, à penser a mes intérêts, mes objectifs.
Et là surprise j'en ais pas, je me suis rendu compte que j'en avais pas que je les ai tous écarté, oublié car je n'avais pas les ressources.
il y a 20 ans j'ai entendus parler du Dr Erickson, mais bon à l'époque il y avais rien en français et pas d'enseignements.
Je me suis rabattu sur l'analyse transactionnelle, et là il m a falut me résoudre à l'évidence c'est pas dans mes moyens.
quelques livres et puis c'est tout.

 Et depuis cinq ans suite a une mauvaise évolution de la maladie et surtout a l'absence de résultat des traitements, j'ai commencé a me poser des questions sur ce que me proposais le corps médical.
Du comment j'était amené à lacher prise, à comprendre comment j'ai été amené systématiquement à renoncer a un peut pret tout dans ma vie  pour se concentrer sur MA maladie .
Et que a quel point je fut guidé,
Je me suis peu a peut rendu compte de cela, tout en pensant que c'est pour mon bien et que c'est ok.
j'ai par la suite compris que les objectif était divergants en fait il s'agissais de santé publique de ne pas que je contamine les autres et pas de ma santé que en fait ces deux objectifs sont antinomique et apparemment incompatible, d'ou un état de tension permanent intérieur:
Je me suis ensuite rendu compte que j'avais pas le choix que il y a un dogme auquel en consultant d'autres toubib qu 'il y a une sorte de dogme d'attitude sectaire consistant a me balader, quitte a raconter des mensonges scientifiques.
A répondre a mes questions par d'autres questions ou m'emmener dans de l'imaginaire .
Quelque chose clochais, je ne comprenais pas quoi, et plus j'était en demande, plus ma santé se dégrade, moins il y a de réponses et plus j'était infantilisé.
j'ai passé quelques mois en parano mais surtout à rechercher des informations..:
Mon ressenti s'est peu à peu avéré relativement exact.
On ma toujours expliqué que mon ressentit c'est de la merde, que c'est pas valable .
je n'est fait durant toute ma vie ce que les autres disais de moi et ce qui est bon pour moi .
Mais alors que s'est il passé avec le corps médical, et avec cette relation particulière avec "mon" toubib depuis 15 ans ?
il a bien fallu que je m'intéresse aux influences et hop je suis en pleins dedand.. PNL, Erickson nous voilà..
Et puis me voilà a mettre mon toubib en transe.. pour lui monter que j'ai compris, en fait rien a faire aucuns changement d'attitudes.
il s agis toujours de virer mon facteur critique, cela à en quelque sorte empiré .
Et puis... j'ai décider d'arrêter et de me donner le temps de réfléchir et ...
donc je devais mourir dans les 6 mois, que c'est de la folie ext...
je l'ai fait, et je suis toujours là et je vais plutôt bien .
j'ai u de la chance ?
 non pas vraiment, juste du bon sens.
tout n'est pas rose, et je vais reprendre un traitement en 2013,
mais comment s'extraire un tout petit peu de cette pression et culpabilisation du corps médical ?
Cela m'est devenu insupportable .
Je n'est pas trouvé de réponses, je perçois que je doit communiquer le moins possible avec les toubibs toute ce que je transmet est ensuite utilisé pour me casser et me soumettre .
Et comme maintenant j'en m en rend compte cela m'est de plus en plus insupportable.

J'ai fermentent pris la décision de ne plus partager, de ne plus demander quand au choix du médecin la question de ne se pose plus .
je n'est plus le choix de mon toubib, pour baisser les primes un petit peu, la question est donc réglée.
J'appréende d'avance ce contact et cette abrutisation mais j'ai pas trop le choix.
 J'espère pouvoir poursuivre avec l'ancien traitement, car je sait ce que je doit prendre pour reconstituer mon sytème immunitaire et il est clair que après quelques mois a prendre mon traitement pour faire baisser ma charge virale, je sait quoi retirer  pour redresser mon système immunitaire et me sortire de ce mauvais pas..!
Reste le problème que mon dossier ne suive pas, que l'on reparte à zéro sans indications de mon  ex. toubib...
Cela c'est pas évident on me rétorqueras que c'est pas économique...
Faudra que je résiste, que je me justifie.
et c'est justement ce que j'ai pas l'intention de faire !

Je verrais bien le premier entretien en janvier ce seras un moment clef.

samedi 20 octobre 2012

Que dire, que faire

l'année avance à grand pas et .. . pas encore trouvé les 1000 francs pour reprendre mon traitement en 2013.
mais peut importe,
je viens d'apprendre que cette année encore les cotisations d'assurances augmente de 20 francs par mois...
j'ai pas vraiment le choix, je suis entré dans un réseau médicare et renoncé au libre choix du médecin.
mon nouveau partenaire santé est roumaine.

Je suis dans un état de tension émotionnel élevé depuis un moment sur comment manœuvrer entre stigmatisation du milieux médical, culpabilisation, formatage et... ma santé.
Ma santé, pas celles des autres.
Mon système immunitaire, pas celui des autres.
Mes CD4 et pas ma virémie .
Mon taux de stress cellulaire.
Mes blancs...

Je le reconnais c'est égo histe.

Mais diable pourquoi cette peur ?
grâce aux médicaments antiviraux je suis impuissant depuis plus de 10 ans ou est le danger ?
Et puis il est vachement difficile de se faire du bien quand on est fauché...
Je devrais retrouver le dilemme prendre des comprimés ou manger ?

Un traitement un an sur deux commence vraiment a faire sens, malgré la très forte pression du corps médical et ces "entretiens motivationnels et de compilance".

Je crois bien que je ne les pardonnerais jamais de m'avoir incité a prendre des petits crédits pour continuer à prendre leurs prescriptions.