avertissements


les textes de ce blog sont issus d'un séropositif.
bien que l'auteur émet des opinions bien tranchées il n'invite personne a changer ou renoncer de traitement médical. ce qui est dit ici est un avis personnel, un vécu tel qu'il est perçu par l'auteur. celui-ci n'est pas membre du corps médical et ne prétend aucunement donner des conseils médicaux. de plus l'auteur n'est de loin pas parfait du point de vue de l'orthographe, il fait avec ce qu'il a et, force est de constater que c'est pas grand chose.


dimanche 22 janvier 2012

tout vas bien !

Très nette baisse de moral,
 tout vas bien, les politiciens du coin l'affirme.
les statistiques l'affirment les prix baissent, le pouvoir  d'achat augmente, et c'est pour cela que les salaires ne sont pas indexé.
On a de la chance les prix aurais baissé de 1,6%

On doit nier ce que l'on vis, tout vas bien puisque on vous le dit.
c'est moi qui est de mauvaises perceptions de la situation.

Je m'en tiens a ma résolution malgré cet abrutissage, cet infantilisation insérée au burin.
si c'est c'est si important que je prenne des médicaments pour quelqun ou quelque chose, il y a lieu de
me rémunérer pour cela.
Ou mes revenus progressent d'au moins 1500 francs par mois net !

Autrement je vois strictement aucune raisons  de vivre, il 'sagis là juste d'un strict minimum.

mercredi 4 janvier 2012

La santé c'est important...

L'important c'est d'avoir la santé...
qui n'a jamais entendu cette affirmation ?
tant que on à la santé... ext.
 de plus en plus se développe une impression,
que se soit avec son entourage ou le corps médical, cela conduit à se focaliser sur cela à y mettre des ressources.
cela est ou, doit être une priorité, tout le monde en convient .
ce serais comme si la santé serais une "valeur" universelle
on focalise tellement et dès le plus jeune âge là(s) dessus que de mon point de vue, on fabrique des hypocondriaques .
j'ai vraiment l'impression que cette intention, cette croyance conduit à toutes les tentions et empêche l'équilibre .
on a rassuré en mettant en place des structure obligatoires ou le principe serais que tout le monde aurais droit à la santé,  ce qui bien sur n'est pas le cas c'est l'évidence même .
on rassure par un système que l'on affirme universel.
et pourtant quand on fait recours à ce système une des première chose qu'il semble évidente c'est l'abandon de son autonomie.
ensuite si cela ne vas pas "mieux" si il y a pas vraiment d'outils on est invité à lâcher prise, se développe un langage de plus en plus métaphorique, indirect et on plonge peu à peu d'ans l'onirisme et un état appelé lytique, on recours même à des médicaments dans ce seul but.
c'est une évidence le sujet pris dans ce processus, cet engrenage régresse sans trop s'en rendre compte.
alors que que l'intention, lorsque  on fait recours à un système de santé, quand on "consulte" c'est que l'on veux continuer à avancer.
on propose le confort l'acceptation et d'inviter au deuil.
on entre dans une boucle infernale, et paradoxale ou une personne consulte  pour avancer et ou il est presque systématiquement toujours proposé de lâcher prise, d'être pris en charge .
il est alors pas si étonnant qu'il y aie une monté en régime, une frustration plus au moins consciente, on consulte plus on en veux plus.
et on reçois plus de confort, d'attention, d'empathie un peu surjouée.
si je pousse un peut plus avant cette théorie il me semble qu'il y à une montée rapide d'une tension intérieur qui n'est pas comprise, conscientisée.
de déséquilibre la tension progresse, cela conduit a tout sauf à l'homéostasie qui justement est l'intention de départ.
et puis arrive un moment donné la personne cède.
elle est cassée, c'est la régression...
et la "santé" deviens la mère, la maternante de cette société à sont plus grand profit ce qui la conduit dans un circuit de la récompense qui amène tout ses acteurs à renforcer, soutenir et développer cette voie pourtant sans issue.